16 août 2004
Toujours la même histoire.
Au fond, les camps, ça finit toujours de la même façon : on se tape sur les nerfs, et puis on se quitte avec plaisir. Peut-être que je vieillis aussi. J'ai passé l'âge des camps. Ça ne pourra jamais être pire que l'an dernier, mais là, elles sont sur le point de dépasser les bornes.
Il me semble que c'est clair que c'est elles qui ont tort. Elles n'ont pas l'air de s'en rendre compte.
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